Pourquoi les femmes dirigeantes sont-elles essentielles pour une réussite durable ?
Il fut un temps, malheureusement pas si lointain, où il était rare de croiser un visage féminin dans une réunion de cadres dirigeants d’une entreprise à travers le monde. Le lieu de travail n’était pas considéré comme un endroit pour les femmes, et certainement pas à des postes élevés. Heureusement, cette époque est révolue. Et le monde des affaires s’en porte mieux.
Les attentes, aspirations et préférences sociales ayant évolué au cours de la dernière décennie, il n’est plus si rare de voir des femmes travailler avec succès aux plus hauts niveaux de l’entreprise et de la vie publique – y compris, et je suis fier de le dire, chez Abdul Latif Jameel.
Traditionnellement, les femmes s’orientaient vers des spécialités particulières, comme les ressources humaines ou le marketing. Et il y a encore aujourd’hui beaucoup de femmes inspirantes qui font de l’excellent travail dans ces domaines. Mais les femmes dirigeantes actuelles siègent dans les salles de conseil, quel que soit le domaine d’activité ; chez Abdul Latif Jameel, nous incluons la dimension féminine au plus haut niveau dans diverses fonctions commerciales.
Des femmes comme Jasmmine Wong, présidente-directrice générale de Jameel Motors, en charge de la gestion des activités de mobilité internationale, Kate McLaren, responsable du marketing et des opérations commerciales de Farizon Auto R.-U., filiale de Jameel Motors, Mariana Merino, directrice des ressources humaines pour le secteur de la mobilité, et Salma Moukbil, directrice générale de Jameel Motors Maroc, qui supervise l’exploitation et le développement des franchises de distribution Toyota, Lexus et MG Motor. Et en dehors de nos activités automobiles, Sunita Juma, responsable de la fiscalité d’Abdul Latif Jameel et Antonia Carver, directrice d’Art Jameel, l’une des principales fondations artistiques du Moyen-Orient.
Nous reviendrons plus en détail sur ces femmes qui font avancer les choses au plus haut chez Abdul Latif Jameel. Examinons tout d’abord les raisons pour lesquelles de plus en plus d’entreprises prennent progressivement conscience du potentiel inexploité des femmes professionnelles.
Comment la liberté de choix libère-t-elle le potentiel féminin ?
Dans un sens, il n’est pas surprenant que les femmes gravissent les échelons de carrière et viennent à occuper des postes de premier plan sur nos lieux de travail. Après tout, elles surpassent de plus en plus les hommes en matière d’éducation à tous les niveaux, depuis la petite enfance jusqu’à l’université et au-delà.
Une étude menée par l’université de Cambridge au Royaume-Uni a montré que les filles étaient jusqu’à 14 % plus nombreuses que les garçons à répondre aux attentes en matière d’éducation, et qu’elles étaient nettement plus susceptibles de dépasser les attentes dans toutes les matières, à l’exception des mathématiques.[1] Chez les jeunes de 18 ans, les filles obtiennent de meilleurs résultats que les garçons dans toutes les matières, y compris dans des domaines traditionnellement dominés par les hommes, comme la physique et l’informatique. Les femmes sont plus nombreuses que les hommes à poursuivre leurs études à l’université et ont plus de chances d’obtenir un diplôme avec mention.
Les femmes ont progressivement moins d’enfants et privilégient leur carrière à la fondation d’une famille. En 2023, on recensait 2,3 enfants par femme en moyenne dans le monde, contre 4,9 enfants en bas âge recensés dans les années 1950.[2] Elles retardent également l’âge auquel elles commencent à fonder une famille. Les femmes d’aujourd’hui sont deux fois plus susceptibles que leurs grands-mères de ne pas avoir d’enfants à l’âge de 30 ans.[3]
Après avoir diminué dans les années qui ont suivi la crise économique mondiale de 2008, la parité hommes-femmes dans la population active mondiale est passée de 63 à 64 % en 2023.[4]
En bref, la réussite engendre la réussite, et il existe aujourd’hui un vivier croissant de talents féminins à l’échelle mondiale sur lequel les femmes peuvent modeler leur propre carrière.

Quelles femmes d’affaires emblématiques inspirent la nouvelle génération ?
Les figures de proue féminines des années 2020 appartiennent aussi bien au monde politique qu’à celui des affaires. Pensez à des talents comme Claudia Sheinbaum, qui est devenue en octobre dernier la 66e présidente du Mexique et première femme à occuper ce poste. Ou encore Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, et Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne, toutes deux en poste depuis 2019. Sans oublier Mary Barra, PDG de General Motors et première femme à la tête de l’un des trois principaux constructeurs automobiles. Ou encore Julie Sweet, présidente de la société multinationale de conseil Accenture, et Sandy Ran Xu, directrice générale du géant chinois du commerce électronique JD.com depuis 2023.

Ces tendances mondiales se reflètent de plus en plus dans la région MENA. Dans la sphère politique, les femmes peuvent s’inspirer de personnalités comme Sheikha Lubna Bint Khalid Al Qasimi, ministre de la Coopération internationale et du Développement des Émirats arabes unis, Hind Subaih Al-Subaih, ministre des Affaires sociales et du travail et ministre d’État pour la planification et le développement du Koweït, la Dre Fatima Mohamed Al Balooshi, ministre du Développement social au Bahreïn, ainsi que Al-Shehana bint Saleh Alazzaz, nommée vice-secrétaire générale du Conseil des ministres d’Arabie saoudite en 2022.
Le monde des affaires de la région MENA commence également à offrir des opportunités aux femmes pionnières. L’une des figures les plus en vue est Hana Al Rostamani, PDG de la First Abu Dhabi Bank, la plus grande banque des Émirats arabes unis en termes d’actifs. Sans compter Shaista Asif, cofondatrice et PDG de PureHealth Holding au Pakistan, dont le portefeuille contient plus de cent hôpitaux, 300 cliniques, 60 pharmacies et 143 laboratoires. Ou encore Shaikha Khaled Al Bahar, directrice générale adjointe du groupe National Bank of Kuwait, qui dirige des opérations dans 13 pays, et Randa Sadik, directrice générale de l’Arab Bank en Jordanie, un atout majeur dans le domaine des services financiers et bancaires.
Jameel Motors
Femmes dirigeantes chez Abdul Latif Jameel : Jasmmine Wong
« L’industrie automobile est plutôt masculine et il peut être difficile de s’imposer en tant que femme.
Mais je suis ravie d’avoir relevé ce défi chez Jameel Motors. Je n’ai jamais bénéficié d’un traitement de faveur et je n’ai jamais été confrontée à des attentes différentes. Tout le monde est traité de la même manière, hommes et femmes, dès l’orientation initiale. C’est à vous, en tant qu’individu, d’être flexible, de vous engager, d’appliquer vos compétences de la manière la plus efficace possible et de démontrer la valeur que vous pouvez apporter. »
Les femmes chefs d’entreprise connaissent une ascension particulièrement rapide en Arabie saoudite, où le document stratégique Vision 2030 publié en 2016 par le gouvernement a beaucoup contribué à l’égalisation des droits et encouragé la participation des femmes dans l’économie. Vision 2030 a permis plusieurs initiatives visant à renforcer l’autonomie des femmes, depuis l’introduction de lois contre le harcèlement et l’interdiction de la discrimination fondée sur le sexe sur le lieu de travail,
jusqu’à la levée de l’interdiction de conduire pour les femmes. Le plan accorde aux femmes une plus grande autonomie dans leur vie, leur permettant de choisir comment elles veulent gagner leur vie, où elles souhaitent vivre, et leur permettant de gérer leurs propres entreprises. Son efficacité est indéniable, puisque la participation des femmes dans la main-d’œuvre saoudienne a presque doublé entre 2016 et 2022.
Les entreprises privées et les organismes non commerciaux d’Arabie saoudite ont réagi en conséquence, certains lançant des programmes de leadership pour les femmes, d’autres introduisant des quotas minimums pour l’inclusion des femmes.
Aujourd’hui, près de 45 % des petites et moyennes entreprises d’Arabie saoudite sont détenues par des femmes.[5]
Des femmes leaders inspirantes ont émergé dans tout le pays, devenant des exemples pour les autres.[6] On peut citer notamment : Sheila Al-Rowaily, PDG de la société d’investissement Wisayah et première femme membre du conseil d’administration de la Banque centrale saoudienne ; Sarah al-Suhaimi, première femme à présider le Tadawul, la bourse des valeurs mobilières d’Arabie saoudite ; Rania Nashar, première femme saoudienne à occuper le poste de PDG d’une société cotée en bourse (Samba Financial Group), membre du conseil d’administration de la Commission spatiale saoudienne et actuellement responsable de la conformité et de la gouvernance au Fonds d’investissement public saoudien (PIF) ; la Dre Moudhi Aljamea, première femme cadre chez STC, la plus grande société de télécommunications du Moyen-Orient ; et Esraa Al-Buti, première femme associée chez EY Saudi.
Les Émirats arabes unis, voisins de l’Arabie saoudite, ont également étendu les droits des femmes, avec des réformes de 2018 à 2019 qui ont amélioré les libertés professionnelles dans un certain nombre de domaines. La discrimination et le harcèlement fondés sur le sexe sont aujourd’hui interdits sur le lieu de travail. Les femmes sont désormais autorisées à travailler de nuit ou à occuper des emplois dangereux. En outre, le licenciement des travailleuses enceintes a été déclaré illégal, car discriminatoire.

Farizon Auto R.-U., (Jameel Motors)
Femmes dirigeantes chez Abdul Latif Jameel : Kate McLaren
« Je me sens incroyablement privilégiée d’avoir rejoint Abdul Latif Jameel en cette période d’expansion majeure de la mobilité et de me voir confier la marque Farizon pour le Royaume-Uni. J’aime travailler dans un environnement dynamique qui me permet d’exploiter toutes mes compétences transférables.
Je travaille depuis longtemps dans l’industrie automobile britannique, dans les domaines de la vente et de l’après-vente des équipementiers, du marketing produit, de la marque, du CX, du numérique et de la formation. C’est formidable d’être encore sollicitée et de pouvoir se développer professionnellement dans un environnement de start-up. »
Comment l’éducation peut-elle émanciper les femmes leaders de demain ?
Malgré ces progrès, les possibilités d’éducation (facteur essentiel de toute carrière réussie) sont encore limitées pour les femmes dans de nombreuses régions en développement du monde.
L’organisation humanitaire internationale UNICEF estime que près de 122 millions de filles n’ont pas accès à l’école dans le monde, dont 34 millions au niveau primaire et 88 millions au niveau secondaire.[7] Les taux d’achèvement des études pour les filles qui commencent l’école sont plus faibles dans les pays les plus pauvres : au niveau primaire, 63 % des femmes contre 67 % des hommes, au niveau secondaire 38 % des femmes contre 43 % des hommes et au niveau supérieur, 21 % des femmes contre 26 % des hommes.
On pense que ces disparités sont causées par divers facteurs.[8]
Le genre : certaines cultures intègrent des attentes concernant la participation limitée des femmes sur le lieu de travail, même à l’âge scolaire. Il a été démontré que les stéréotypes liés au genre dissuadent les candidates de poursuivre une carrière dans les filières STEM (sciences, technologies, ingénierie et mathématiques).
Le niveau de revenus : les jeunes filles issues de communautés à faibles revenus, en particulier celles vivant dans des endroits reculés ou appartenant à des minorités ethniques, ont moins de chances d’accéder à l’éducation que celles vivant dans des zones plus riches et plus matures.
Les troubles : dans les pays sujets à des conflits, qu’ils soient civils ou transfrontaliers, le déséquilibre entre les genres est accru ; les filles étant 2,5 fois plus susceptibles de ne pas être scolarisées que leurs homologues masculins.
La famille : dans les communautés où le mariage d’enfants est courant, les filles terminent rarement leur scolarité. Plus de 40 000 filles de moins de 18 ans se marient chaque jour dans le monde. Les chiffres suggèrent que l’abolition du mariage des enfants pourrait contribuer à élargir les possibilités offertes aux femmes et à stimuler l’économie mondiale à hauteur d’environ 500 milliards de dollars par an.
Femmes dirigeantes chez Abdul Latif Jameel : Noura Elawamry
« Mon rôle est celui de partenaire stratégique, qui gère des stratégies complexes et s’engage auprès des parties prenantes internes et externes pour obtenir des résultats critiques pour l’entreprise, en accord avec le programme de transformation de l’organisation. Étant la plus jeune de l’équipe, cela signifie beaucoup de se voir confier des responsabilités aussi stratégiques.
Cela reflète la conviction de l’organisation que le mérite prime sur l’ancienneté, et cela me motive à diriger avec détermination et précision. »
Qui souffre de ces inégalités ?
Tout le monde. La Banque mondiale rapporte que seulement 19 % des femmes ont un emploi rémunéré dans le monde, contre 71 % des hommes.[9] En outre, elle estime que le fait de priver les filles d’un minimum de 12 années d’études se traduit par une perte de productivité et de revenus tout au long de la vie comprise entre 15 000 et 30 000 milliards de dollars.[10]
Dans la région MENA, ces déséquilibres se sont historiquement manifestés par une « fuite des cerveaux » préjudiciable vers l’hémisphère nord ;
les femmes instruites cherchant à évoluer dans leur carrière ailleurs et préférant parfois rester à l’étranger.
En Égypte, par exemple, la moitié des médecins formés dans le pays, principalement des femmes, ont émigré pour explorer les opportunités de santé à l’étranger.[11]
Là encore, nous en payons tous les conséquences financières. Une étude a montré qu’une augmentation du taux d’emploi des femmes au niveau de celui des hommes pourrait entraîner une hausse de 57 % du PIB de la région MENA.[12]

Dans la région MENA, nous avons déjà pu constater que les pratiques inclusives envers les femmes (égalité de rémunération, politiques de lutte contre le harcèlement, quotas de diversité) ont commencé à faire une différence tangible, à la fois dans la vie des femmes et dans les performances commerciales des nations. Mais que faut-il faire encore pour
libérer pleinement le potentiel des femmes dans le domaine du leadership ?
Une récente enquête de PWC a posé cette même question aux femmes qui aspirent à devenir les entrepreneurs et les dirigeantes de demain.[13]
Les initiatives pratiques visant à encourager la participation des femmes à des niveaux élevés sur le lieu de travail pourraient inclure :

Femmes dirigeantes chez Abdul Latif Jameel : Antonia Carver
« L’industrie artistique peut être fière de son équilibre entre les hommes et les femmes. En effet, les deux dirigeants adjoints d’Art Jameel sont des femmes, tout comme la directrice du cinéma et plus de la moitié de l’équipe.
De plus en plus de femmes entrent dans l’entreprise et occupent des postes de cadres, ce qui est formidable.
La famille Jameel a toujours donné le ton à l’entreprise, qui est fondée sur le respect de tous. C’est plus concret ici que dans d’autres endroits où j’ai travaillé. »
- une adoption plus répandue du travail à distance ;
- la mise à disposition de moyens de transport flexibles pour celles qui manquent de mobilité personnelle ;
- l’accès à un plus large éventail d’emplois correspondant aux compétences diverses d’une génération de femmes autonomes ;
- des subventions et des bourses d’études spécifiques aux femmes pour surmonter les inégalités en matière d’éducation ;
- un réalignement des normes sociales pour réduire la stigmatisation des femmes au travail et des femmes dirigeantes.
Si ces mesures étaient largement mises en œuvre dans l’ensemble du Moyen-Orient, elles contribueraient à égaliser les chances des femmes sur le marché du travail et apporter des avantages culturels plus larges.
En quoi la diversité des effectifs devrait-elle être un objectif stratégique clé ?
Les organisations progressistes comme Abdul Latif Jameel bénéficient déjà d’une impressionnante galerie de collègues féminines qui occupent des postes de direction dans l’ensemble de l’entreprise.
En effet, l’élargissement de la diversité des effectifs est désormais l’un des principaux objectifs stratégiques de notre entreprise, avec un programme de leadership féminin visant à faciliter l’accès des femmes aux postes de direction, et une série d’indicateurs de performance introduits pour mesurer l’efficacité.
Abdul Latif Jameel
Femmes dirigeantes chez Abdul Latif Jameel : Sunita Juma
« Abdul Latif Jameel valorise la diversité et la contribution de tous ses employés.
Cela est ancré dans les principes et les valeurs de Jameel qui nous guident. L’entreprise comprend également l’importance des perspectives qu’apportent les différentes cultures, origines et personnes pour bâtir une culture et une entreprise gagnantes.
Je suis fermement convaincue que l’accent mis sur l’individu, quel que soit son genre, crée une culture plus performante et équitable qui permet aux meilleurs éléments d’évoluer dans leur carrière. »
Quel est donc l’impact de l’acceptation et de l’encouragement sur le lieu de travail pour nos femmes dirigeantes ?
« Je me rends souvent à des événements organisés par des équipementiers et je suis la seule femme dans la salle », déclare Jasmmine Wong, directrice générale de Jameel Motors, expliquant comment elle a dû travailler dur pour nouer des relations et se faire entendre au sein de l’industrie automobile. « J’ai eu beaucoup de chance de pouvoir travailler chez Inchcape – et maintenant chez Abdul Latif Jameel – pour montrer que les femmes sont tout aussi capables de diriger des entreprises florissantes dans ce secteur. »
« Renforcer la diversité de nos effectifs est un objectif stratégique clé », déclare Mariana Merino, directrice des ressources humaines pour le secteur de la mobilité au sein d’Abdul Latif Jameel.
Mariana participe actuellement à la création d’un programme de leadership féminin visant à favoriser l’accès des femmes aux postes de direction d’Abdul Latif Jameel. « En plus d’aider à renforcer la représentation de genre dans l’ensemble de l’entreprise, cela s’inscrit dans notre culture de soutien et de développement de tout un chacun », ajoute-t-elle.
Encourager une génération de femmes dirigeantes n’a pas seulement un sens moral, mais aussi un sens financier. La promotion des talents féminins sur le marché devrait stimuler l’économie de l’Arabie saoudite à hauteur de 39 milliards de dollars (3,5 %) d’ici à 2032.
D’autres recherches confirment le bien-fondé de la diversité des genres pour les entreprises. Une étude portant sur des données provenant de centaines d’entreprises du monde entier a montré que les équipes mixtes prenaient de meilleures décisions que les individus seuls dans 73 % des cas.[14] Une autre étude révèle que les entreprises classées dans le quartile supérieur en matière de mixité des équipes dirigeantes ont 25 % plus de chances d’afficher une rentabilité supérieure à la moyenne par rapport aux entreprises classées dans le dernier quartile dans ce domaine.[15]

Reuse from previous women in the workplace article.

Abdul Latif Jameel
Femmes dirigeantes chez Abdul Latif Jameel : Lisa Floris
« Il est important pour moi de continuer à ouvrir la voie aux femmes qui occupent des postes de direction, de faire tomber les barrières, de favoriser l’inclusion de tous et de montrer aux autres que la réussite n’est pas seulement possible, mais qu’elle est aussi réalisable.
Le leadership, ce n’est pas seulement un titre ; c’est aussi l’influence, le mentorat et la création d’environnements où les femmes peuvent s’épanouir.
Que ce soit en plaidant pour des politiques équitables, en montrant l’exemple ou en encadrant des leaders émergents, c’est ce qui contribue à un changement durable. »
Le monde se prépare à une convergence de méta-crises dans les décennies à venir. Pour affronter et surmonter des dilemmes tels que le réchauffement climatique, l’épuisement des ressources et l’IA surpuissante, il faudra utiliser nos meilleurs talents, où qu’ils soient.
Chez Abdul Latif Jameel, nos entreprises opèrent pour le bénéfice de tous, indépendamment de la culture, des croyances ou du genre. Nos équipes doivent donc refléter ce riche mélange d’humanité.
Alors que les femmes jouent un rôle de plus en plus important au sein de notre entreprise, nous continuerons à récolter les fruits de notre soutien à ces dirigeantes pour qu’elles maximisent leur potentiel et fassent avancer les choses depuis le sommet de l’échelle.
[1] https://www.forbes.com/sites/nickmorrison/2024/01/14/from-kindergarten-to-college-girls-are-outperforming-boys/
[2] https://ourworldindata.org/fertility-rate
[3] https://www.independent.co.uk/news/uk/home-news/women-children-mother-later-age-b1766293.html
[4] https://www.weforum.org/publications/global-gender-gap-report-2023/in-full/gender-gaps-in-the-workforce/
[5] https://www.atlanticcouncil.org/blogs/menasource/vision-2030-women-economy-saudi-arabia/
[6] https://businesschief.eu/leadership-and-strategy/top-10-female-leadership-firsts-in-saudi-arabia
[7] https://www.worldbank.org/en/topic/girlseducation
[8] https://www.worldbank.org/en/topic/girlseducation
[9] https://www.atlanticcouncil.org/blogs/menasource/theres-a-gendered-brain-drain-in-mena-its-because-women-are-unrecognized-and-underestimated/
[10] https://www.worldbank.org/en/news/press-release/2018/07/11/not-educating-girls-costs-countries-trillions-of-dollars-says-new-world-bank-report
[11] https://www.atlanticcouncil.org/blogs/menasource/theres-a-gendered-brain-drain-in-mena-its-because-women-are-unrecognized-and-underestimated/
[12] https://www.pwc.com/m1/en/publications/images-new/woman-in-work/mena-women-in-work-survey-2022.pdf
[13] https://www.atlanticcouncil.org/blogs/menasource/theres-a-gendered-brain-drain-in-mena-its-because-women-are-unrecognized-and-underestimated/
[14] https://www.forbes.com/sites/eriklarson/2017/09/21/new-research-diversity-inclusion-better-decision-making-at-work/?sh=267e29904cbf
[15] https://www.mckinsey.com/featured-insights/diversity-and-inclusion/diversity-wins-how-inclusion-matters
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