Créer une voie responsable vers la croissance
Comment la famille Jameel partage les ambitions des Objectifs de développement durable de l’ONU en matière de travail, d’infrastructure et de croissance responsable.
Les ambitions de l’Agenda 2030 des Nations unies, avec ses 17 objectifs de développement durable (ODD), sont telles qu’il est parfois facile d’oublier qu’au cœur de ces objectifs se trouve une idée très simple : aider les gens.
Bien sûr, des objectifs ambitieux en matière de protection de l’environnement et de la planète, d’amélioration des systèmes d’alimentation et d’approvisionnement en eau, de renforcement de l’égalité, de transition vers une énergie propre abordable, etc., sont des objectifs essentiels et complexes à poursuivre, en tant que tels. Tous ont des conséquences d’une portée considérable pour notre société si nous ne parvenons pas à les atteindre. En effet, notre société telle que nous la connaissons, sinon notre planète, aura du mal à survivre si ces objectifs ne sont pas atteints.
Mais la plupart d’entre eux sont sous-tendus par un objectif beaucoup plus simple qui se perd parfois dans l’ombre des grandes idées : aider les gens à vivre une vie enrichissante, satisfaisante et surtout durable.
C’est l’idée au cœur des ODD 8, 9 et 12 de l’ONU :
- L’ODD 8 cherche à promouvoir une croissance économique durable, inclusive et soutenue, un plein emploi productif et du travail décent pour tous.
- L’ODD 9 vise à construire une infrastructure résiliente, à promouvoir une industrialisation inclusive et durable et à encourager l’innovation, avec des sous-objectifs pour des questions telles que l’augmentation de l’accès aux TIC, la mise à niveau des infrastructures pour soutenir le bien-être humain et l’amélioration de l’accès aux services financiers.
- L’ODD 12 consiste à garantir des modèles de consommation et de production durables. Il comprend des sous-objectifs pour réduire de moitié le gaspillage alimentaire, augmenter la sensibilisation au développement durable et soutenir le tourisme durable qui crée des emplois et promeut la culture locale.
Cependant, comme pour beaucoup d’ODD, les progrès accomplis vers ces objectifs dans le monde ont été incohérents, en particulier pendant la période 2020-2021. Au milieu de l’année 2021, avec plus de 3 millions de vies perdues, l’économie mondiale perturbée, et toutes les sphères de la vie humaine bouleversées par la pandémie de COVID-19, on peut dire que les progrès vers certains des objectifs sont passés de « lents » à « inversés ».
La récession économique qui a suivi a fait basculer dans l’extrême pauvreté entre 119 et 124 millions de personnes supplémentaires en 2020 et l’équivalent de 255 millions d’emplois à plein temps ont été perdus. Le tourisme a été l’un des secteurs les plus durement touchés. Au niveau mondial, les arrivées internationales ont diminué de 74 % en 2020 par rapport à 2019, ce qui représente une perte de 1,3 billion USD en dépenses touristiques entrantes, soit plus de 11 fois la perte résultant de la crise mondiale de 2009[1].
En termes d’infrastructures et d’industrie, la pandémie a perturbé les chaînes de valeur mondiales et restreint la circulation des personnes et des marchandises, entraînant une baisse significative de 8,4 % de la production manufacturière en 2020. En fait, la production industrielle dans les pays les moins développés devrait connaître une croissance négligeable de 1,2 % en 2020, un taux de croissance beaucoup trop faible pour atteindre l’objectif de doubler la part de l’industrie dans le PIB d’ici 2030[2].
Ces dernières années, les progrès accomplis pour assurer des modèles de consommation et de production durables ont été tout aussi éphémères, et pas seulement en raison de la pandémie, les habitudes de consommation étant encore loin d’être durables. Les données recueillies par l’ONU indiquent une augmentation de près de 40 % de l’empreinte matérielle mondiale par habitant, passant de 8,8 tonnes métriques en 2000 à 12,2 tonnes métriques en 2017, par exemple, tandis que la consommation de matériaux domestiques par habitant a augmenté de plus de 40 % sur la même période. De même, le taux annuel de croissance du recyclage des déchets électroniques au cours de la dernière décennie était de 0,05 kg par habitant. Ce chiffre devra être multiplié par plus de dix pour que l’ODD concerné, à savoir le recyclage de tous les déchets électroniques d’ici 2030[3], soit atteint.
Le tableau dressé par ces statistiques est sans aucun doute source d’inquiétude. Mais plutôt que d’être une raison de se démotiver et d’abandonner, il doit être considéré comme un catalyseur pour redoubler d’efforts afin d’atteindre les ODD et protéger l’avenir de notre société, et ainsi de notre planète.
Et malgré les impacts de la pandémie qui sévit encore dans de nombreuses régions du monde, il y a des raisons d’espérer. Les communautés du monde entier se sont rassemblées comme jamais auparavant. Les gouvernements ont agi de manière décisive pour étendre les services de santé et protéger les emplois. Le rythme de la transformation numérique s’est accéléré de manière exponentielle, et une collaboration mondiale sans précédent a permis de développer et de déployer des vaccins et des traitements vitaux en un temps record.
En outre, il existe des fondations solides sur lesquelles on peut s’appuyer dans de nombreux domaines. Pour se remettre sur les rails de l’Agenda 2030, comme indiqué dans le Rapport d’étape de l’ONU sur les ODD[4], « les gouvernements, les villes, les entreprises, les communautés et les industries doivent tirer parti de la reprise pour adopter des voies de développement à faible émission de carbone, résilientes et inclusives qui réduiront les émissions de carbone, préserveront les ressources naturelles, créeront de meilleurs emplois, amélioreront l’égalité entre les sexes et s’attaqueront aux inégalités croissantes. »
Grâce à notre engagement à investir dans des industries qui sont des éléments essentiels de l’infrastructure de la vie, telles que la mobilité, l’énergie, l’eau, les services financiers et la santé, combiné à notre longue histoire de philanthropie, la famille Jameel est fière de jouer son rôle dans la réalisation de ces objectifs, reflétant les objectifs des ODD 8, 9 et 12 de l’ONU.
Le Laboratoire mondial d’éducation Abdul Latif Jameel (J-WEL) au MIT, par exemple, une collaboration co-fondée par Community Jameel et le MIT, reflète notre conviction selon laquelle l’éducation peut favoriser l’égalité des chances pour tous, et permettre aux personnes de réaliser leur potentiel au travail. Un mois de formation peut apporter toute une vie de travail, et quand les gens ont du travail, ils peuvent contribuer à la société, et ont une fierté personnelle, une stabilité familiale, de l’argent et un sentiment de liberté et d’amour propre.
Les organisations membres de J-WEL travaillent avec les enseignants et le personnel du Massachusetts Institute of Technology pour saisir les opportunités mondiales de changement évolutif dans l’éducation, en se concentrant sur trois domaines clés ou « collaboratifs » :
- « J-WEL pK-12 » réinvente l’éducation préscolaire, élémentaire, secondaire et supérieure par la conception, la recherche et la mise en œuvre d’innovations pédagogiques.
- « J-WEL Higher Education » construit une communauté de leaders mondiaux qui transformera l’enseignement supérieur pour assurer le succès des étudiants du monde entier.
- « J-WEL Workforce Learning » travaille avec des écoles, des entreprises, des gouvernements et des organismes à but non lucratif pour transformer la nature de l’apprentissage des employés dans le monde entier.
Une autre collaboration entre Community Jameel et le MIT est le Laboratoire d’Action Contre la Pauvreté d’Abdul Latif Jameel (J- PAL), qui a également l’ambition fondamentale d’aider les gens à sortir de la pauvreté et à vivre une vie épanouissante. Son secteur Marchés du travail évalue ce qui fonctionne pour insérer les demandeurs d’emploi dans la population active, pour faciliter la transition des jeunes dans le monde du travail, pour fournir les compétences dont les entrepreneurs ont besoin pour réussir, et pour aider les entreprises à se développer et à innover.
Les projets pertinents comprennent la recherche sur l’efficacité des programmes de formation subventionnés pour les jeunes en Ouganda, et sur l’impact du contrôle financier sur l’approvisionnement en main-d’œuvre des femmes et les normes de genre en Inde.
En plus de soutenir les décideurs politiques dans l’application des preuves issues des évaluations randomisées à leur travail, les experts J-PAL rédigent des réflexions politiques qui synthétisent les leçons générales tirées de la recherche, condensent les résultats des évaluations dans des publications de politiques et des résumés d’évaluation, et financent de nouvelles recherches par le biais de l’initiative Emplois et opportunités.
Créer des opportunités
Il existe d’importantes recherches suggérant que la pandémie de COVID-19 a eu un impact disproportionné sur les femmes, en particulier en ce qui concerne le travail[5]. Il s’agit d’un domaine dans lequel Community Jameel travaille dur depuis plus de 15 ans, afin d’aider les femmes à accéder à des opportunités de formation et d’emploi.
En 2006, Nafisa Shams s’est établie en Arabie saoudite afin de fournir aux femmes un environnement de travail intégré les aidant à produire de l’artisanat de haute qualité. Cela est rendu possible par des programmes de formation et des lignes de production spécialisés, tels que le programme de travail à la maison, qui permet aux femmes saoudiennes d’atteindre un équilibre entre la vie de famille et le marché du travail. De plus, Nafisa Shams a lancé le Nafisa Shams Incubator, l’un des premiers incubateurs d’affaires féminins en Arabie saoudite, spécialisé dans le design et l’artisanat.
Le succès de Nafisa Shams s’appuie sur les accomplissements de Bab Rizq Jameel (BRJ) ou « magnifique voie de la prospérité » en arabe, qui a formalisé les initiatives de création d’emploi de la famille Jameel en une seule entité, en 2003. BRJ aide les jeunes d’Arabie saoudite, d’Égypte et du Maroc à trouver du travail. Il trouve des postes aux demandeurs d’emploi et aide à créer des opportunités d’emploi afin de permettre l’indépendance économique, tout en élargissant l’accès aux financements et au soutien pour les nouvelles entreprises et les start-up.
Ses services sont divisés en trois programmes principaux.
- BRJ Recruitment cherche à apporter un changement positif à la vie des jeunes hommes et femmes prometteurs grâce à un éventail de programmes d’emploi et de formation efficaces.
- BRJ Microfinance propose des prêts aux entrepreneurs, aux petites et moyennes entreprises (PME) et aux familles, avec des plans de paiement souples et abordables et des mensualités faciles.
- BRJ Services, quant à lui, offre une gamme complète de services commerciaux conçus pour aider les PME, les start-up et les chefs d’entreprise à réaliser leurs ambitions commerciales.
Depuis sa fondation, Bab Rizq Jameel et ses principales initiatives ont soutenu des dizaines de milliers d’entrepreneurs, de PME et de familles par le biais de prêts sans intérêt, aidé plus de 248 000 femmes à travailler et épaulé plus de 35 000 petites entreprises grâce à divers programmes, tels qu’un programme d’acquisition de taxi. La valeur totale du soutien qu’il a apporté dépasse les 500 millions USD.
Le Chapitre saoudien du Forum d’entreprise du Massachusetts Institute of Technology, dont Community Jameel est un partenaire clé, s’efforce également d’autonomiser les gens et de leur offrir des opportunités d’exceller et de développer leurs compétences. Il a été fondé dans le but de promouvoir, d’encourager et de célébrer l’écosystème de l’entrepreneuriat, spécifiquement en Arabie saoudite, par le biais d’une compétition annuelle. Il organise le Startup Investment Forum, une exposition de trois jours qui offre aux start-ups du monde entier des opportunités d’étendre leurs activités au marché saoudien et de rencontrer des investisseurs potentiels.
De même, au niveau régional, l’objectif principal du MITEF Pan Arab est de promouvoir et d’enrichir l’écosystème de l’entrepreneuriat dans le monde arabe, tout en soutenant les start-ups et les entrepreneurs de la région par le biais d’un portefeuille diversifié de programmes et d’initiatives conçus pour faciliter la croissance économique.
Construire une infrastructure résiliente
Notre engagement à investir dans l’infrastructure de la vie au profit de notre société n’est nulle part aussi évident qu’avec Fotowatio Renewable Ventures (FRV), la branche phare d’énergies renouvelables d’Abdul Latif Jameel Energy and Environmental Services.
FRV aide à opérer la transition vers l’énergie durable renouvelable, et étudie de nouvelles technologies pour lutter contre le changement climatique. La société a une présence sur cinq continents, a développé plus de 50 usines d’énergie renouvelable et possède un portefeuille de projets de plus de 2,7 GW sur les marchés solaires mondiaux en Australie, au Moyen-Orient, en Inde, en Afrique, aux États-Unis et en Amérique latine, avec un pipeline de plus de 9 GW de projets en cours de développement.[6]
L’un de ses plus grands marchés est l’Australie, où elle a investi un total de 1 milliard USD à ce jour. En décembre 2020, elle a obtenu l’approbation de son neuvième parc solaire, à Walla Walla, qui fournira de l’énergie propre à 90 000 foyers et entreprises. Walla Walla rejoint les projets existants des centrales solaires de Metz, Sébastopol, Goonumbla et Moree toutes en Nouvelle-Galles-du-Sud, ainsi que des fermes solaires à Dalby, Lilyvale (Queensland) et Winton (Victoria).
L’usine de Dalby, en particulier, est une indication de la contribution de FRV à la construction d’infrastructures résilientes pour permettre une industrialisation durable, conformément aux objectifs de l’ODD 9. Ce projet est une centrale électrique hybride qui combine la production d’énergie solaire photovoltaïque et le stockage par batterie colocalisé. Il s’agit du premier projet hybride de FRV dans le pays et de l’un des premiers projets de système de stockage d’énergie par batterie dans le Queensland.
Un autre marché connaissant une expansion rapide pour FRV est l’Amérique latine, en particulier le Mexique et le Chili, dont le secteur de l’énergie renouvelable est l’un des plus avancés du continent.
L’un de ses développements au Chili est un projet hybride solaire-éolien pouvant approvisionner près de 250 000 foyers en énergie propre, toute l’année. Le projet est divisé entre deux sites : une centrale solaire au nord du pays et une centrale éolienne au sud.
FRV possède également deux usines principales au Mexique, à San Luis de Potosi et à Potrero.
Avec ces deux projets, la société, qui a grandi et est devenue très rapidement un acteur important, a maintenant une capacité installée de 640 MW au Mexique. Elle explore également d’autres opportunités en Uruguay, au Brésil, au Pérou et en Colombie.
En outre, Abdul Latif Jameel développe de nouvelles opportunités dans le secteur de l’énergie éolienne. En 2019, Abdul Latif Jameel General Trading Japan a lancé deux micro-éoliennes à Cap Erimo, dans le sud-est d’Hokkaido. Cap Erimo a été choisi pour ces éoliennes, car le vent y souffle à plus de 10 mètres/minute plus de 260 jours par an, ce qui en fait l’un des sites à plus fort potentiel éolien au Japon.
« Alors que le monde est confronté à l’un des plus grands défis qu’il n’ait jamais connus, nous sommes fiers d’être au cœur de la bataille, de faire avancer une vision vers un nouveau paysage énergétique mondial, et de transférer les compétences, les connaissances et les meilleures pratiques mondiales aux communautés dans lesquelles nous opérons », déclare Daniel Sagi-Vela, PDG de FRV.
Innovation énergétique
La technologie de stockage par batterie à l’échelle des services publics est destinée à révolutionner le secteur de la production d’énergie et est essentielle pour construire une infrastructure à la fois résiliente et durable.
Elle permet à l’énergie de sources entièrement durables comme l’énergie solaire et éolienne de satisfaire nos besoins 24 h/24, 7 j/7, même s’il n’y a pas de vent ou de soleil.
FRV est déjà un pionnier dans cette technologie révolutionnaire.
En plus de l’usine de Dalby, en Australie, FRV s’est associé au développeur britannique Harmony Energy sur un ensemble de batteries de 15 MWh à l’échelle des services publics à Holes Bay, dans le Dorset, et également à Contego, dans le West Sussex, tous deux au Royaume-Uni.
Ce sujet est exploré plus en détail dans ce podcast Spotlight, hébergé par Fady Jameel.
FRV a récemment annoncé le développement du plus grand projet de stockage d’énergie par batterie du Royaume-Uni, qui sera développé à Clay Tye dans l’Essex.
FRV-X, la branche d’innovation dédiée de FRV, intègre également cet esprit pionnier dans le secteur des transports, ce qui conduit FRV à s’impliquer dans la prochaine génération de systèmes de transport public alimentés à l’hydrogène. Le premier de ces projets est un partenariat avec la Fédération professionnelle des taxis de Madrid pour aider à remplacer au moins 1 000 taxis traditionnels par des véhicules écologiques à hydrogène d’ici 2026. Le partenaire automobile de longue date d’Abdul Latif Jameel, Toyota, fournit les nouveaux véhicules, avec son modèle de pile à combustible record Toyota Mirai, capable de parcourir jusqu’à 600 km sans impact environnemental.
Le deuxième projet historique se situe à Alicante, la quatrième province la plus peuplée d’Espagne, où FRV-X s’associe à Vectalia pour développer le premier système à grande échelle de transport en bus à hydrogène.
Le liquide de la vie
Le succès de FRV est le complément idéal aux activités d’Almar Water Solutions, qui fait partie d’Abdul Latif Jameel Energy and Environmental Services, en augmentant la disponibilité de l’élément peut-être le plus important de l’infrastructure de la vie : l’eau.
Almar Water Solutions est un fournisseur spécialisé dans le développement d’infrastructures hydrauliques, notamment la conception, le financement et l’exploitation. En 2019, dans le cadre d’un consortium, il a obtenu un contrat pour développer l’une des plus grandes usines de dessalage du monde et qui a depuis été primée, Shuqaiq 3 IWP, située sur la côte de la mer Rouge en Arabie saoudite. Cette installation de 600 millions USD aura la capacité de produire 450 000 mètres cubes d’eau douce par jour, desservant plus de 1,8 million de personnes.
Almar a également une participation majeure dans l’usine de traitement des eaux usées de Muharraq au Bahreïn, et étend rapidement ses opérations au Chili et en Égypte L’expansion rapide de son portefeuille d’actifs d’infrastructures hydrauliques indique la ferme intention d’Abdul Latif Jameel de relever ce défi particulièrement urgent et d’améliorer l’approvisionnement durable en eau pour les communautés du monde entier.
Comme Fady Jameel, président délégué et vice-président d’Abdul Latif Jameel, l’explique dans son article Spotlight :
« Innover, développer et investir dans des processus et des technologies qui nous permettent, en tant que société, de fournir un approvisionnement adéquat en eau à nos communautés, nos industries et notre agriculture en harmonie avec l’environnement est l’un des plus grands défis auxquels nous serons confrontés. »
Faciliter une approche plus durable de l’entreprise
Trouver des moyens d’encourager et de faciliter une consommation et une production plus responsables, soit les objectifs de l’ODD 12, nécessitera des changements profonds dans notre société et nos communautés, à mesure que les gens s’adaptent à un mode de vie plus efficace, plus durable et moins gaspilleur.
En tant que défenseur prolifique et actif des principes du kaizen et de la réduction des déchets et des processus inutiles, Four Principles, le cabinet de conseil en lean management d’Abdul Latif Jameel, est présent dans tout le Moyen-Orient pour offrir des conseils et des formations afin d’orienter l’activité commerciale et gouvernementale vers un système zéro déchet. Son approche est fondée sur les principes de base du Lean :
- Définir la valeur du point de vue du client
- Identifier la valeur et éliminer le gaspillage
- Remplacer le gaspillage par la valeur
- S’améliorer sans cesse
Cela permet au gouvernement et aux entreprises d’adopter des pratiques de consommation et de production responsables. Il n’est pas question de réduire les coûts pour le plaisir, mais d’intégrer des économies durables à long terme qui éliminent le gaspillage, améliorent les rendements et créent de la valeur pour le client.
Les activités de Four Principles, d’Almar Water Solutions, de FRV et toutes les autres initiatives décrites ci-dessus sont révélatrices des engagements et investissements que la famille Jameel est fière de réaliser pour contribuer aux objectifs ambitieux des ODD. Il s’agit d’une approche et d’une vision qui remontent à plus de 75 ans, à la fondation d’Abdul Latif Jameel, et qui, nous l’espérons, se développeront encore davantage à l’avenir.
« Par les choix et les investissements que nous faisons aujourd’hui, nous pouvons apporter une réelle contribution à la protection de notre société, de notre mode de vie et de notre planète pour les générations futures. Grâce à l’innovation et la détermination, nous pouvons travailler ensemble pour mettre en œuvre des moyens plus durables et équitables de créer des opportunités pour tous, de renforcer nos communautés et de développer nos économies », déclare Fady Jameel, président adjoint et vice-président d’Abdul Latif Jameel
Découvrez comment les activités de la famille Jameel contribuent aux Objectifs de développement durable sur : https://jameel75.com/sdg ; regardez notre vidéo et téléchargez un rapport de synthèse.
[1] https://sdgs.un.org/goals/goal8
[2] https://sdgs.un.org/goals/goal9
[3] https://sdgs.un.org/goals/goal12
[4] https://undocs.org/en/E/2021/58
[5] https://www.un.org/sites/un2.un.org/files/policy_brief_on_covid_impact_on_women_9_apr_2020_updated.pdf
[6] https://frv.com/en/#